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made such a type a necessity to him, not scientifically, but æsthetically," etc. P. 590.

20 R. Owen has declared his attitude towards the doctrine of descent in the concluding chapter of his "Manual of the Comparative Anatomy of the Vertebrata." It is published separately under the title of "Derivative Hypothesis of Life and Species," 1868.

a1 Ib....." such cause being the servant of predetermining intelligent will."

32"No one can enter the saddling-ground at Epsom before the start for the Derby, without feeling that the glossy-coated, proudlystepping creatures led out before him are the most perfect and beautiful of quadrupeds. As such, I believe the horse to have been predestined and prepared for man." Ib. P. II.

33 "I deem an innate tendency to deviate from parental type, operating through periods of adequate duration, to be the most probable nature or way of operation of the secondary law whereby species have been derived one from the other." Ib. P. 22.

34 Lamarck, Philosophie Zoologique (Paris, 1809). In the text allusion is made to the following passages :

"Ainsi l'on peut assurer que, parmi ses productions, la nature n'a réellement formé ni classes, ni ordres, ni familles, ni espèces constantes, mais seulement des individus qui se succèdent les uns aux autres, et qui ressemblent à ceux qui les ont produits. Or ces individus appartiennent à des races infiniment diversifiées, qui se nuancent sous toutes les formes et dans tous les degrés d'organisation, et qui chacune se conservent sans mutation tant qu'aucune cause de changement n'agit sur elles." I. 22.

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La supposition presque généralment admise, que les corps vivans constituent des espèces constamment distinctes par des caractères invariables, et que l'existence de ces espèces est aussi ancienne que celle de la nature même, fut établie dans un temps où l'on n'avait pas suffisament observé, et où les sciences naturelles étaient à peu près nulles. Elle est tous les jours démentie aux yeux de ceux qui ont beaucoup vu et qui ont longtemps suivi la nature." I. 54.

"Les espêces n'ont réellement qu'une constance relative à la durée des circonstances dans lesquelles se sont trouvés les individus qui les représentent." I. 55.

"--les considérations, et nous font voir

"1. Que tous les corps organisés de notre globe sont de véritables productions de la nature, qu'elle a successivement executées à la suite de beaucoup de temps.

"2. Que dans sa marche la nature a commencé et recommence encore tous les jours, par former les corps organisés les plus simples, et qu'elle ne forme directement que ceux-là, c'est à dire que ses premières ébauches de l'organisation, qu'on a désignées par l'expression de générations spontanées.

"3. Que les premières ébauches de l'animal et du vegétal étant formées dans les lieux et les circonstances convenables, les facultés d'une vie commençante et d'un mouvement organique établi ont nécessairement developpé peu à peu les organes, et qu'avec le temps elles les ont diversifiés ainsi que les parties.

"4. Que la faculté d'accroissement dans chaque portion du corps organisé était inhérente aux premiers effets de la vie ; elle a donné lieu aux différens modes de la multiplication et de régénérations des individus ; et que par là, les progrès acquis dans la composition de l'organisation et dans la forme et la diversité des parties ont été conservés.

“5. Qu'a l'aide d'un temps suffisant, des circonstances qui ont été nécessairement favorables, des changemens que tous les points de la surface du globe ont successivement subis dans leur état, en un mot, du pouvoir qu'ont les nouvelles situations et les nouvelles habitudes pour modifier les organes des corps doués de la vie, tous ceux qui existent maintenant ont été insensiblement formés tels que nous les voyons.

"6. Enfin, que d'après un ordre semblable de choses, les corps vivants ayant éprouvé chacun des changemens plus ou moins grands dans l'état de leur organisation et de leurs parties, ce qu'on nomme espèce parmi eux a été insensiblement et successivement ainsi formé, n'a qu'une constance relative dans son état, et ne peut ainsi être aussi ancien que la nature." I. 65, &c.

"La progression dans la composition de l'organisation subit, çà et là, dans la série générale des animaux, des anomalies opérées par l'influence des circonstances d'habitation et par celle des habitudes contractées." I. 135.

"Dans tout animal qui n'a point dépassé le terme de ses developpemens, l'emploi plus fréquent et routiné d'un organe

quelconque fortifie peu à peu cet organe, le developpe, l'agrandit, et lui donne une puissance proportionnée à la durée de cet emploi ; tandis quel e défaut constant d'usage de tel organe l'affaiblit insensiblement, le détériore, diminue progressivement ses facultés, et finit par le faire disparaître.

"Tout ce que la nature a fait acquerir ou perdre aux individus par l'influence des circonstances où leur race se trouve depuis longtemps exposée, et par conséquent, par l'influence de l'emploi prédominant de tel organe ou par celle d'un défaut constant d'usage de telle partie, elle le conserve par génération aux nouveaux individus qui en proviennent." I. 235.

"La volonté dépendant toujours d'un jugement quelconque n'est jamais véritablement libre; car le jugement qui y donne lieu est, comme le quotient d'une opération arithmétique, un résultat nécessaire de l'ensemble des éléments qui l'ont formé.” I. 342.

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“Les animaux contractent, pour satisfaire à ces besoins, diverses sortes d'habitudes, qui se transforment en eux en autant de penchans, auxquels ils ne peuvent resister et qu'ils ne peuvent changer eux mêmes. De là l'origine de leurs actions habituelles et de leurs inclinations particulières, auxquelles on a donné le nom d'instinct. Ce penchant des animaux à la conservation des habitudes et au renouvellement des actions qui en proviennent, étant une fois acquis, se propage ensuite dans les individus, par la voie de la reproduction ou de la génération, qui conserve l'organisation et la disposition des parties dans leur état obtenu, en sorte que ce même penchant existe déjà dans les nouveaux individus, avant même qu'ils l'aient exercé." I. 325.

35 The acute author of the book, "Das Unbewusste❞ defines instinct in essentially the same manner as Lamarck. "In this sense it may be said that every instinct is in the last instance by its origin an acquired habit, and the proverb that 'habit is second nature' thus receives the unexpected supplement that habit is also the beginning and origin of the first nature, ¿.e., of instinct. For it is always habit, i.e., the frequent repetition of the same function, which so firmly impresses the mode of action, however acquired, upon the central organs of the nervous system that the predisposition thus originated becomes transmissible." p. 182.

36 The highly important doctrine which Lyell has substantiated

with his rich experience is also distinctly and concisely enunciated by Lamarck in the Philosophie Zoologique :

"Si l'on considère, d'une part, que dans tout ce que la nature opère elle ne fait rien brusquement, et que partout elle agit avec lenteur et par dégrés successifs, et de l'autre part que les causes particulières ou locales des désordres, des bouleversemens, des déplacemens, etc., peuvent rendre raison de tout ce que l'on observe à la surface de notre globe, et sont néanmoins assujetties à ses lois et à sa marche générale, on reconnaîtra qu'il n'est nullement nécessaire de supposer qu'une catastrophe universelle est venue culbuter et détruire une grande partie des opérations mêmes de la nature.” I.80. 37 Principles of Geology.

38 In 1870, as well as in 1872, the majority in the French Academy bore this testimony to Darwin. The reiterated proposal of electing him a member was certainly not rejected until such men as Milne-Edwards and Quatrefages had made the standpoint clear to the scientific judges.

39 Origin of Species. Fifth Ed. 1872.

The other works cited are, 66 The Variation of Animals and Plants under Domestication," 1868; "The Descent of Man and Sexual Selection," 2nd ed., 1871; "Expression of the Emotions in Man and Animals," 1872.

40 Malthus (1798) investigated the conditions of the increase and decrease of human population. He finds that the rise in population is necessarily limited by the means of subsistence, and that the growth increases in proportion to the means of subsistence, setting aside some special impediments easily discovered. These impediments, which always keep the population below the amount warranted by the means of subsistence, are moral restraint, crime, and misfortune. Malthus depicts the struggle for existence without pronouncing the word; he demonstrates that the dreams of a future blissful equality of all mankind on the earth transformed into a vast garden, are based upon delusions. Each individual must much rather labour indefatigably to ameliorate his position. By the experience of breeders and gardeners he knows that animals and plants may be improved and ennobled. No organic ennoblement of the human race as a whole is perceptible, nor can the human race be ennobled save by condemning the less perfect individuals to celibacy.

These, and similar thoughts in the work of Malthus, first suggested Darwin's theory, as he has informed us.

41 Variation of Animals and Plants. I. 100.

42 Two treatises by A. Kerner are also very instructive with regard to the question of species: "Gute and Schlechte Arten." (Innsbruck, 1866.) And "Die Abhängigkeit der Pflanzenwelt von Klima und Boden. Ein Beitrag zur Lehre von der Enstehung und Verbreitung der Arten, gestützt auf die Verwandtschaftsverhältnisse, geographische Verbreitung und Geschichte der Cytisusarten aus dem Stamme Tubocytisus D.C." 1869. Kerner's latest work, “Die Schutzmittel des Pollens" (Innsbruck, 1873) is likewise an admirable investigation of the variability, adaptation, and formation of species. 43 Origin of Species. 13th ed. p. 84.

44 Origin of Species. 13th ed. p. 96. 45 Origin of Species.

16 P. 7. The following pages contain an epitome of the objections offered to the inadequacy of the theory of selection.

47 Moritz Wagner, Die Darwin'sche Theorie und das Migrationsgesetz der Organismen, 1848.

49 Nageli, Enstehung und Begriff der naturhistorischen Art. (Sitzungsberichte der bairischen Akademie der Wissenschaften), 1865. Nageli's later investigations (Sitzungsberichte der mathematisch-physikalischen Klasse der Münchner Akademie, 1872, p. 305) confirm the doctrine of descent. He shows that the gregariousness of merely allied species and their varieties proves more favourable to the formation of species than isolation. "The associated forms-of certain Alpine plants-have, as it were, reciprocally modified one another; they exhibit, to express myself thus, a specific social type, which is different in each assemblage, and therefore in every neighbourhood. This fact incontrovertibly shows that the forms have altered since they were associated.

"The specific social type consists in their showing a notable accordance in certain characteristics, while in others they represent extremes, and in these sometimes exceed all their congeners in other districts.

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From these facts it follows undoubtedly that the movement in the cenobitic forms (¿.e. living together) is divergent. For extreme characteristics are developed in them, whereas the eremitical forms exhibit a medium in their characteristics.

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